Comme beaucoup de cinéphiles vous aimez vous faire peur, que ce soit dans votre salon ou au cinéma, et évidemment le choix du film d’horreur est naturel dans ce cas. Un bon petit classique des années 80 ou un plus récent, le frisson vous guette et vous aimez ça. Mais quel est le spectre du cinéma d’horreur sur le web ? Comment consomme t-on ce genre cinématographique réservé aux plus courageux d’entre nous, sur la toile ?

Peu de frissons sur les plateformes de streaming

Les gros diffuseurs de contenu vidéo comme Netflix sont assez timides en la matière et on ne trouvera que peu de choix en matière de film d’horreur, malheureusement. Pourquoi le catalogue est-il si pauvre en épouvante ? Il serait intéressant de leur poser la question. Toujours est-il que si vous voulez vous faire peur dans votre canapé, sous un plaid, seul ou accompagné, le choix du géant Netflix ne sera pas le premier.

Alors viennent les sites de VOD des grandes chaînes françaises comme Canal+ ou TF1. Là on aura le loisir d’y voir figurer un choix un peu plus grand que chez Netflix, et c’est tant mieux. On trouvera des grands classiques comme Halloween ou Vendredi 13, histoire de se rappeler comment il était possible d’être effrayé avec des effets spéciaux aussi ridicules, mais vous trouverez également des films d’horreur plus récents comme Ghost House ou The secret. Très bons films d’ailleurs que je ne peux que vous conseiller. Sur Canal Play le choix est encore un peu plus large mais le tarif aussi, pas sûr qu’il ne rentre dans le budget familial.

Un genre nouveau : le porno d’horreur

Il semblerait que le fantasme soit, pour une certaine partie de la population, tournée vers le mélange entre l’horreur et le sexe. Qu’à cela ne tienne, des grosses productions d’horreur porno voient maintenant le jour et sont plus crédibles ! On est loin des budgets pharaoniques engloutis dans les effets spéciaux mais on est super crédible, comme en témoignent ces quelques scènes, soit parodiques de films d’épouvantes déjà connues, soit totalement originales. Un passage chez un dentiste malade, fou, et aussi lubrique, vous fera peut-être regretter un brossage de dent trop peu régulier.